Omega Toketsu

Ado arrivant Messages : 6 Date d'inscription : 27/06/2009

Votre Personnage :

Nom : Toketsu [Vomissement de sang]

Prénom : Omega

Age : 17 ans

Description Physique :
A première vue, Omega n’a strictement rien qui puisse faire penser à un être différent, hormis… cet œil rouge. Il est plutôt grand, ses cheveux sont d’une couleur bleutée, assez foncée, et il ne possède pas une carrure digne d’un footballeur, loin de là. A vrai dire, au niveau de la morphologie, il est fin, léger, finement musclé, et se font très facilement dans le décor. Son visage est triangulaire, aux traits fins, légèrement efféminés, mais qui tirent aussi sur les expressions traduisant l’ambition, le sadisme, la cruauté et la confiance en soi. Si son sourire nous parait toujours aussi froid et dénué de tout sentiment de compassion, rien ne s’arrange avec son regard… … que l’on qualifierait d’effrayant. A savoir, un œil rouge et un œil bleu ne fait pas parti des banalités que l’on peut croiser dans notre vie. Cet œil rouge serait en fait dû à une petite erreur génétique, son père ayant lui-même un oeil rouge. Un problème de pigment. Cependant, personne n’a cherché à le cacher, et même Omega semble apprécier cette petite différence dont il se sert pour déboussoler quelques personnes, en les fixant droit dans les yeux. Dans l’œil rouge règne le chaos, la peur, la désolation, ce que notre cher robot se plait à qualifier « l’Alpha de l’Omega ». Et, à l’inverse du rouge, le bleu ne représente que le désespoir, la douleur, la solitude, le vide, le néant, qu’il appelle « l’Omega de l’Alpha ». Si l’œil rouge brille, c’est qu’il a l’intention de semer le chaos. S’il s’agit de l’œil bleu, cela veut dire qu’il a l’intention d’en terminer avec quelque chose. Les cheveux d’Omega sont tantôt longs, tantôt courts. On ne sait pas vraiment ce qu’il leur fait, mais beaucoup pensent qu’il met des rajouts. Ils sont d’une couleur bleutée foncée, doux et soyeux au toucher. Ils luisent tout particulièrement lorsqu’ils sont exposés à une lumière blanche ou bleue, mais perdent totalement leur éclat quand ils sont exposés à la lumière rouge. La raie est faite en zigzags réguliers.

Caractère :
« Je suis Omega. Omega peut vouloir dire "la fin de tout". C'est mon père, Léo Namida, qui m'a nommé ainsi. Mon prénom a souvent causé bien des malentendus… mais Père savait que mon prénom n'était pas choisi au hasard, d'autant plus qu'il ne signifie pas la même chose pour nous comme pour les autres. Pour la généralité, "la fin de tout" est associée à un être cruel, sadique, puissant, égoïste et sanguinaire. Une sorte de créature qui a soif de pouvoir, qui n'agit que dans son intérêt, ou bien qui est guidé par un instinct animal, mais qui, au final, finira par tout anéantir. Je dois avouer que c'est à peu près ça… mais de mon point de vue, cela n'est pas négatif. Mon père voulait que je sois fort, imposant, que je sois très persuasif, autant dans les mots que dans les gestes. Il me disait que j'avais tout pour être un bon leader, que j'étais celui qui lui ressemblait le plus. Je suis possessif et jaloux. Deux mauvais points chez moi, que je sais pourtant transformer en qualités quand ça m'arrange. Je joue, je jongle, je suis un artiste sans vraiment l'être. Je suis un caméléon. Je m'adapte selon les situations, je « suis » en fonction du lien que je veux établir entre une personne et moi. A l'école, on m'a dit une fois que j'étais "un garçon aux mille visages". Ce n'est pas faux. Et le fait de justement changer de façon d'être avec tout le monde me rend absolument imprévisible. Un truc qui devrait logiquement m'énerver, me fera peut-être rire, et vice versa. J'ai cessé moi-même de chercher à comprendre pourquoi je fonctionne ainsi. Puis-je affirmer me connaître, d'ailleurs ? Pas vraiment… je n'ai peut-être aucun véritable visage.
Que fait le caméléon, encore ? En dehors de s'adapter à l'environnement dans lequel il se trouve, on utilise aussi son image pour l'associer à celle des espions. Un espion manipule. Il ment. Il se cache, se transforme, et on ne sait jamais quand on peut lui faire confiance ou pas. C'est un être insaisissable qui a le pouvoir quasi-absolu sur ce qu'il veut. Certes il a des contraintes. Mais il a toujours le choix pour trahir. Il est dans les deux camps en même temps. De plus, il arrive à se procurer de nombreuses informations très facilement… saviez vous que je leur ressemble et qu'espionner est un de mes passe-temps favoris ? Je jouais souvent à ce petit jeu, chez moi. Les rares fois où je me séparais de mes frères, eh bien, je les suivais dans l'ombre. Au départ je me faisais tout le temps repérer, mais avec le temps, j'ai finis par comprendre comment je devais agir.
Mais encore… je ne suis pas que ça. Paraît-il, je suis une sacrée tête brûlée, qui est bien ancrée dans ses idées et qui ne tolère pas qu'une personne tente de me faire changer. Je suis du genre à m'énerver assez facilement. Mais rassurez-vous, quand je m'énerve… je suis calme. Plus je suis calme, plus je suis énervé. Et si je commence à devenir agressif et violent, hum… courrez. Looooiiiiin de moi, c'est un conseil.

J'aime énormément réfléchir, me poser des questions, songer à telle ou telle chose, la remettre en question… La conscience. Elle serait le symbole de la liberté. En effet, se rendre compte de ce que l'on peut faire sans avoir à obéir à une pulsion serait la clé de la liberté pour l'homme. De plus, la conscience serait l'auteur de nombreux questionnements autant sur le plan religieux que sur le plan philosophique voir même sur le plan politique ou moral. Bref, la conscience est bien mystérieuse et emplie de secrets qui ne seront sûrement jamais découverts. Sa structure, sa base, serait l'instinct, autrement dit, on possèderait bébé la faculté de sentir des pulsions. Puis grâce au développement intellectuel propre à l'homme, on serait capable par l'esprit d'apprendre et surtout de créer, d'innover. Aussi d'imiter, de s'adapter puis plus tard de juger et de se culpabiliser afin de pouvoir construire sa moralité et sa personnalité avec toutes les valeurs et tous les principes les plus logiques pour le sujet en question. Mais, personnellement, je me sens prisonnier de ma propre conscience. N'est-ce pas assez paradoxal ? Enfin bon… autant de réflexions… pour quoi ? Pour vous embrouiller. Vous faire douter. Je suis un maître en la matière…
Oui, vous obliger à toujours tout remettre en question. Vous torturer l'esprit, vous faire culpabiliser. Si j'ai une dent contre vous, soyez sûr que vous allez en baver avec moi. Je sais que la vengeance ne mène à rien… mais pour moi, c'est autre chose. Ce n'est pas une vengeance comme on l'entend. Comment vous expliquer ? Je n'agis jamais sans raison. On me pense totalement égoïste, mais mon égoïsme est généreux… je sais, pour vous, c'est impossible. Un égoïsme généreux… et puis quoi encore ? J'agis toujours pour et selon les autres. Je suis dépendant du monde qui m'entoure. Encore plus de ma famille. Je ne le suis pas en même temps. Oui, je suis bizarre, un être insaisissable. Qui sait ce qui se cache derrière le "moi" que tout le monde connaît ? Quand on pense m'attraper, on se rend compte que, finalement, on n'a saisit qu'une ombre, qui s'évanouit entre nos mains…
Un jeune homme peu commode, parait-il. Les gens se plaisent à dire que je suis quelqu’un d’intéressant, de surprenant de par sa complexité. Est-ce vrai ? Est-ce moi « le garçon compliqué » ou bien les autres sont-ils « ceux qui sont trop bêtes pour comprendre » ? Car je pense que les complications n’existent qu’en fonction des capacités de chacun. Eux, ils sont bêtes. Ils se fient à leur savoir, leurs idées, et trouvent con ce qu’ils ne sont pas en mesure de comprendre. Vous devez donc en déduire que je suis « con »… mais le con que je suis leur fait peur. On me respecte, on m’écoute, on m’obéit. Ce n’st pas que je me sente supérieur, loin de là, ce sont juste les « autres » qui ont un train de retard. Ne mélangez pas tout… je suis capable de parler avec n’importe qui du moment qu’il reste naturel et n’essai pas de m’amadouer. Je ne tolère pas l’hypocrisie à mon égard.
Je suis un peu dragueur, je l'avoue. Homme ou femme, je m'en contrefiche, tant que je peux faire ce que je veux avec.

Je ne suis pas méchant, mais je ne déborde pas de gentillesse non plus : disons que je reste entre les deux et que je pencherai plus d'un côté que de l'autre suivant la sensibilité de la personne et de la façon dont on perçoit mes paroles, qui peuvent souvent être blessantes, même si ce n'est pas mon intention. Je suis beaucoup à l'écoute des gens, aussi, et j'arrive bien souvent à trouver les mots pour réconforter, redonner espoir. Quand je me sens à l'aise avec quelqu'un, je plaisante beaucoup, même si on ne le voit pas. J'aime bien taquiner, provoquer gentillement, lancer quelques piques aux gens pour les faire réagir. Et, croyez-le ou non, mais je suis une personne extrêmement fidèle, qui pourrait se donner corps et âme pour ceux qu'elle aime. Même si, au premier abord, on pense totalement le contraire ==". Et si je peux vous donner un conseil, un moyen rapide de me faire sortir de mes gongs... c'est de me réveiller quand je dors. Je suis l'Empereur du mal *----*

Dans le fond, qu'avez vous vraiment appris de ma personne ? Peu de choses. Je suis sans être en même temps. Ce n'est pas parce que je semble être que je suis véritablement… Comme un nuage de brume. Je suis la brume, un nuage de fumée. On ne pourra jamais m'attraper à mains nues, et chaque fois que l'on tentera, je me dissiperai, et parfois même, derrière cette brume, cette fumée, vous risquez d'être très désagréablement surpris.

Ado arrivant Messages : 6 Date d'inscription : 27/06/2009

Histoire :

Naître un soir de pleine lune le six juin à six heures du matin n’est pas en soi quelque chose d’extraordinaire, après tout on ne choisit pas le jour ni l'heure de sa naissance. Mais pour le jeune homme, c’était un signe, quelque chose qu’elle avait depuis la naissance. Mais surtout qui ne sait pas que le nombre 666 est le nombre du diable ? Comme un destin prédestiné ou alors juste une coïncidence peu banale…

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Nous étions alors un deux septembre. Parfum de rentrée, pas forcément pour tout le monde… Eux deux avaient terminés ce cycle scolaire au début de l’été passé. Ils avaient eu leurs diplôme haut la main. Maintenant ils n’avaient plus qu’à se préoccuper de leur avenir, un avenir qui était prometteur. Lui, passerait bientôt son examen d’entrée pour une université très réputée, son rêve d’enfant et elle tenterait de devenir infirmière. Ils étaient donc heureux dans le meilleur des mondes… Ils s’aimaient et auraient bientôt un métier stable qu’ils adoreraient…

Mais ce qu’ils ne savaient pas c’est qu’une seule après-midi peut mettre en l’air tous leurs plans d’avenirs. En effet, ils ne savaient pas que cet après midi du deux septembre, ils conçurent ce qu’on aurait pu appeler le fruit de leur amour si cela avait été voulu. Mais restons-en au mot « accident », qui convenait mieux. Ils ne le surent pas tout de suite, seulement quelques semaines après. Ils se disputèrent. Elle finit par lui dire qu’elle n’avorterait pas. Elle ne pouvait pas, même si elle ne voulait pas de cet enfant, elle ne voulait pas faire cet acte qu'elle qualifiait de barbare… Cruel comme solution à leurs problèmes. Il la quitta. Son avenir comptait plus que cela. Il, était Léo Toketsu. Sa mère savait qu'il était marié, et avait plusieurs enfants, mais elle s'en fichait, elle l'aimait. Elle restait donc seule et enceinte. Avec son cœur brisé. Elle retourna chez ses parents, qui avaient acceptés de l’héberger. Eux voyaient cela comme une bonne nouvelle mais le désir d’abandonner son enfant devenait de plus en plus violent dans l’esprit de la jeune femme. Seulement, avec ses parents, ce n’était pas possible, ils n’accepteraient jamais qu’elle abandonne son enfant, leur petit enfant, leur descendance. Surtout que l’hôpital n’avait pas voulu la prendre sachant qu’elle aurait bientôt des congés à prendre…
Elle s’enfuit donc vers Londres, en Angleterre sans rien dire à sa famille. Il lui restait trois mois avant l’accouchement. Elle vit de misérables boulots qui lui permettaient d’avoir un semblant d'existance, quelque chose dans son réfrigérateur. Elle détestait sa vie à Londres, elle se mit même au fil du temps à détester cette ville. Mais elle accoucha enfin un certain six juin, seule. Personne n'était là pour lui susurrer des mots doux à l'oreille lorsque la douleur des contraction se faisait imminente. Personne pour lui tenir la main lorsqu'elle devait faire de gros efforts pour pousser. Personne pour couper le cordon. Seule. Misérable et anéantie de douleur comme de chagrin.

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Mais le plus simple, pour commencer à livrer ses souvenirs, c'est de commencer par le plus vieux que l'ont se souvienne... Omega naquit donc il y a dix-sept ans de cela à Londres, dans une ruelle sale et pourrave au crépuscule du sixième jour du moi de juin, d'un père absent et d'une mère pas très aimante, même pas attendrie par le visage souriant du nouveau né...Omega était le nom que llui avait donner sa mère, voulant dire "La fin de Tout", n'est pas beau l'instinct maternel ?? Il a grandit loin des troubles de la ville, ne connaissant que le calme relatif de la belle campagne. Cependant, Tetsu' n'était pas comme les autres enfants. Vous connaissez beaucoup de bambins de sept ans qui n'aiment pas les animaux, ne réagissent pas mal à la vue du sang [au contraire] ne ressentent rien quand ils entendent des pleurs ou des cris de désespoir... ? En effet, Omega est un être bien trop complexe pour qu'elle puisse être "expliquée". Alors autant le dire, ce jeune homme est un véritable mystère, une source d'incertitude, de doute, de réflexion et de noirceur. Quiconque a le malheur ou le plaisir de parler avec lui se trouvera changé. Peut-être un peu, peut-être beaucoup. Mais personne ne reste complètement le même après l'avoir rencontrée. La demoiselle attire, depuis toujours, la curiosité des gens...
Il passa dix-sept années dans ce taudis insalubre portant le nom de "maison". Mais à cet âge là, on ne fait pas vraiment attention, ce fut peut être pour cela que le fait de vivre auprès d'une mère ignorante ne le gêna pas plus que cela. Il était comme tous les ados, une petit caîd qui aimait faire sa dur et rire. Dix-sept ans dans l’insouciance de la vie avant ce jour… Le jour de trop, celui qui le fit radicalement changer.

Dix-sept ans, elle avait dix-sept ans. C’était un soir de pleine lune de la 2e moitié d’Août. Et sa mère rentra dans sa chambre. Blanche et noire, inquiétante dans les ténèbres de la nuit. Une peau couleur de neige, des longs cheveux tels des trainées de néant, des yeux si sombres que l’on croyait se plonger dans deux abimes. Sa voix glaciale aux oreilles d'Omega, une fois de plus a sifflé et les mêmes mots que chaque année, elle a répété ses mots blessants... Le jeune homme ne le supportait plus et ses mains se jetterent sur cou de sa génitrice, se referment, lentement, il a serré, et dans les yeux de la mère une lueur de peur s’est allumée. Lentement, l’air a manqué. Lentement, elle a paniqué. Lentement, sur le sol elle s’est effondrée. Lentement, Omega l’a lâchée. Il ne voulait pas la tuer. Et elle n'était pas morte, elle avait seulement sombré dans l'inconscience. Le garçon paniqua, prit ses quelques affaires, à manger, et s'enfuit de chez lui dans la noirceur qu'était cette sombre nuit. Se réfugiant dans des bâtiments encore inconnus jusque là.

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Tout juste âgée de dix-sept ans, Omega se retrouva à la rue. Au milieu de violeurs, gangsters, dealeurs et autre. Cela obligeait à savoir se défendre dans un monde où la survie était rude et ostentatoire. Il a appris à ne jamais reculer, à ne jamais se rendre. Un caractère forgé par l'endurance menée à la rue avait forcé le jeune homme à se battre, l'avait affamé, l'avait poussé à voler et s'il le fallait, à tuer. Entrainé à ne montrer ni peur, ni douleur, ni pitié. Sans cesse mis à l'épreuve, jeté dans la nature, seul avec son intelligence et sa volonté face à la fureur du monde. C'était son initiation, ce temps dans la nature sauvage des quartiers mal famés où il vivait.

Malheureusement pour lui, les choses ne se passèrent pas comme elle le voulait. Les autorités l'attrapèrent alors qu'il tentait de voler un commerçant de rue. Le voilà à Lolypop. D'un regard carrément assassin, il faisait comprendre aux autres de ne pas l'approcher, de ne pas le toucher ou même de lui parler.
Quelqu’un saura-t-il le sortir de cette affreuse coquille ? Quelqu’un l’aidera-t-il à briser cette carapace de glace ? Lui aussi, ne demande qu’à sortir, mais il a peur et ne sait comment faire.
Malgré tout… Malgré toutes ces facettes, tous ces mots, toutes ces promesses… On peut voir dans son regard à quel point Omega est attaché à ce monde. Il y tient comme à la prunelle de ses yeux ! Dans les moments critiques, c’est là qu'il dévoile sa vraie personnalité… Il retire tous les masques.

Pokémon souhaité : Grahyena

Votre Présentation :

Prénom : Cocow Cool

Age : 14

Comment avez vous connu ce forum ? : J'lai à) moitié fait ...

Invité

D'oh c'est trop long j'ai pas lu =)
Rebienvenue ^^

Validé ! :applaud:
J'en perd ma salive c'était extra *0*

Invité

J'ai lu parce que je m'emmerdais o_O
J'aime ^^ cheers

» Mais qui est Omega =O